12 juin 2016

Writer's Week #16

État d'esprit de la semaine


Cette semaine, j'ai alterné de la bêta-lecture pour les Wonderfriends (gloire sur mes amies auteur qui écrivent de super bouquins ! J'ai trop hâte de les voir en librairie !), un peu de boulot sur le projet de grammaire ludique, et de nouvelles rencontres scolaires à Riom (dernières rencontres dans le cadre des Incos).

J'ai aussi (enfin) commencé "Papa de Papier", un roman que j'ai en tête depuis longtemps. Si tout va bien, la rédaction du premier jet devrait aller vite (en plus, c'est l'Euro, donc je n'ai pas accès à ma télévision pour me détourner du droit chemin avec des séries !).

Un nouveau livre, ça commence comme ça...

Ma (vraie) vie cette semaine


Fin d'année oblige, c'est opération spectacles de fin d'année. Hier, celui de la danse de MaGrande. J'avoue que ça me redonne envie de m'y mettre (après toutes les années de sport que j'ai fait, la danse me manque). Peut-être que je me laisserai tenter en début d'année lors des inscriptions ? La grande question est : est-ce que j'aurais le temps de faire ça EN PLUS de tout le reste ?
Lorsque j'avais repris le sport il y a 3 ans (?), j'avais l'impression de perdre une soirée d'écriture par semaine (ça plus la souffrance de faire des abdos en se demandant ce qu'on fait là). Peut-être que ce sera différent si je ne fais pas du renforcement musculaire mais seulement de la danse plaisir ?


La question de la semaine


"Mais il faut combien de bouquins pour arriver à en vivre ???"

Sérieusement, je ne sais pas. Je vous renvoie à ma réponse de la writer's week #1 parce que les choses n'ont pas changé (et ce n'est pas la peine de me poser la question toutes les cinq minutes : quand on a trois enfants, on ne prend pas facilement cette décision de sauter dans le vide et dans l'inconnu !).


Le livre de la semaine


Plaguers, Jeanne-A Debats

Résumé :
La terre est épuisée écologiquement, les animaux se sont éteints et l’air est à peine respirable. Seul atout de l’humanité : les réacteurs Alyscamps qui puisent l’énergie dans les dimensions non exprimées de la réalité.
Dans ce monde les adolescent sont victimes d’une étrange maladie, la Plaie, qui les rend capables de créer ex nihilo, semble-t-il, toutes sortes de créatures, voire de commander aux éléments.
Le monde les rejette.

Quentin est un Plaguer, sous ses pieds jaillissent des sources, et celle qu’il aime, Illya, fait fleurir les orchidées partout où elle passe. Ils se rencontrent lors de leur incarcération dans la Réserve parisienne…

Je n'ai pas encore tout à fait fini de le lire, et puis, comme je ne suis pas critique littéraire, je ne vais pas forcément donner mon avis détaillé. En tout cas, j'ai été déstabilisée au début de ma lecture car je ne m'attendais pas au tournant que prend l'histoire. C'est intéressant.

Conclusion


Mon programme, pour la semaine prochaine, c'est carburer sur "Papa de Papier" ! 5 mois que j'attendais de pouvoir enfin écrire à nouveau (pas seulement faire des corrections éditoriales ou des trucs moins personnels). Ça fait du bien !


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